Vous venez de mettre un point final à votre manuscrit et avez hâte de rencontrer vos futurs lecteurs.
Cependant, face à la prolifération des livres et à l’embarras du choix, le lectorat se montre souvent exigeant, voire intransigeant. Sans pitié en somme. Une fois mis à la disposition du public, votre travail ne vous appartient plus, il est désormais livré au jugement sans complaisance d’autrui. Alors, si vos écrits contiennent des fautes, il sera trop tard pour revenir sur une mauvaise impression.
Hélas, un commentaire peu élogieux peut être destructeur, même si vous rectifiez le tir ultérieurement. Il vaut donc mieux être bon tout de suite.
L'auteur(e) qui nous fournit un texte doit s'assurer d'une bonne correction pour éviter : les fautes d'orthographe, les coquilles, les espaces en trop ou manquantes et les mots oubliés… Ainsi que les fautes de grammaire, de conjugaison, de ponctuation, les répétitions, les incohérences dans la narration, les confusions, les anachronismes et autres approximations, les tournures maladroites et les formulations hasardeuses, les erreurs sur les personnages, la pauvreté en synonymes, les erreurs sur le nombre de chapitres.
L'éditeur n'assure plus qu'un service de correction succinct.